• Cellules à effet Hall: c'est une panne chronique des R1100 et j'ai galéré plusieurs fois pour finir par prendre le temps de trouver la cause racine. La réparation définitive ne coûte que quelques centimes, à la grande honte de BMW, qui a continué à vendre des produits dont une partie est mal fabriquée.



• clignotants à la Harley : mon pouce en a vite eu assez de la commande inconfortable de remise à zéro du clignotant, surtout avec un interrupteur qui prend le cambouis. J'ai donc profité d'une location de Harley (à Las Vegas, pour le boulot, ça m'est arrivé !) pour apprécier l'utilisation des palettes en Harley. J'ai donc rajouté cette fonction à ma BM. A voir ici (pdf 3Mo V1.0 juin 2012)



• La batterie ne tient pas la charge, à peine 5 minutes phare allumé, si le moteur ne tourne pas, et trois tentatives de démarrage seulement. Vu la capacité de la batterie, cela devrait tenir deux heures au moins. Comme cela se produisait aussi avec ma première BM, il doit s'agir d'un problème générique. Un coup d'oeil aux fiche d'Isatis) montre que BM a opté pour une batterie gel sur cette machine. Outre son prix excessif, ce type de batterie n'a pas que des avantages: exige de ne pas être chargé à fond, fournit un courant de démarrage inférieur, et a date de péremption,...
  Comme beaucoup, je passe à la baterie classique (qui nécessite parfois un ajustement mécanique du bac, BM ne voulant pas qu'on ait même l'idée de ne pas approuver ses choix: ILS pensent, tu payes). Une batterie AGM à réabsorption de gaz limite les rechargement en eau.
  Il faut aussi modifier l'alternateur qui ne délivre que 14.00V au lieu des classiques 14.4V. Ces 0.4V font une différence énorme sur la charge. Modification assez délicate. A voir ici (pdf 1.2Mo avril 2015)



• Poignées chauffantes automatiques: les poignées chauffantes à deux positions étaient (à mon goût) soit trop fraîches soit trop chaudes. J'ai donc consacré un microcontroleur (petit microprocesseur) à piloter automatiquement la température.
  Mais à moins de mettre la sonde sur une perche à 2m du moteur, il est difficile de trouver un endroit où placer la sonde, satisfaisant à l'arrêt comme en route, et discret. J'ai fini par revenir à une commande manuelle en huit niveaux.



• Poignées chauffantes manuelles : utilisation d'un microcontroleur pour commander en 8 niveaux la puissance de chauffe des poignées. Plus confortable que le réglage d'origine en deux positions, trop chaud ou trop froid.



• Afficheur multifonctions : J'ai acheté la première moto avec un afficheur HS. J'en ai donc fait un avec un microcontroleur ce qui m'a permis de compléter l'affichage: température d'huile, température d'air, niveau d'essence, tension batterie.



• Raccords rapides: ma seconde machine était équipée de raccords rapides d'essence. Très pratiques mais cassants car en plastique. Je les ai remplacés par des raccords inox. A voir ici (pdf 300ko V1.0 aout 2013)



• Fonctionnement de l'afficheur multifonctions (RID) d'origine:j'ai mené une "campagne de mesures" pour étalonner l'indicateur et comprendre son fonctionnement ainsi que celui du voyant de réserve. On trouve sur le Net l'étalonnage de l'afficheur de température d'huile. Introduction d'un circuit linéariseur de l'affichage A voir ici (pdf 800ko V2.0 aout 2013)

premier embrayage



second embrayage



le nouvel afficheur multifonction